Actualités 2017

Pierres chaudes 2017

La pétanque pour l‘amitié

Naters (pac) juin 2017 : Les activités entre collaborateurs de la HEP-VS soignent la convivialité. A Naters, c’est autour des boules de pétanques que les échanges se sont faits. 

IMG 2461Pour marquer la proche fin de l’année académique et en parallèle à la participation des professeurs à la Despedida à Vétroz, Cultrani a organisé une sympathique soirée „boccia“ à Naters avec un souper „pierres chaudes“.

Photo : Les professeurs de la HEP-VS soupèsent les boules.

Andermatter Bund

Braver la tempête pour resserrer les HEP des Alpes

Andermatt (pac) janvier 2017 : La HEP-VS collabore depuis plusieurs années de manière privilégiée avec ses partenaires des Grisons et du Tessin. Afin de traiter des options stratégiques, chaque année les trois directions se retrouvent à Andermatt.

2017 01 14 anderma 1818Andermatt au sommet d’Uri n’appartient pas à l’entente entre le Valais, les Grisons et le Tessin. Sa position géographique centrale entre l’Oberalp, la Furka et le Gotthard lui permet toutefois d’abriter chaque année la rencontre « au sommet » des directions des HEP partenaires. Bravant une tempête déferlante, les trois directions et les responsables de recherche ont profité de la caserne pour débattre de nouveaux projets. La discussion a porté cette année fortement sur les réglages de responsabilité de leader et de partenaire terrain dans le cadre des projets communs, dont les plus connus sont Inclusio et Alpconnectar.

Photo : de g.à d. Edmund Steiner, Peter Summermatter, Patrice Clivaz, Fabio Di Giacomo

Camp de ski de la HEP-VS à Loèche-les-Bains

Créer un esprit de corps

Loèche-les-bains (pac) janvier 2017 : Le mois de janvier à la HEP-VS se décline toujours pour les étudiants du premier semestre bachelor primaire en termes de semaine à Leukerbad. Les objectifs sont multiples. A côté de l’approche des sports de neige, il y a également celui de « souder » les classes dans un environnement inhabituel.

Camp ski 2017La Direction de la HEP-VS visite chaque année les activités du camp organisé par les 2 professeurs Joerg Ruffiner et Nathalie Nanchen, avec l’appui de l’animateur Lionel Saillens et de moniteurs Jeunesse et Sports. Pour Patrice Clivaz, directeur de la HEP-VS,  c’est chaque fois un plaisir particulier de constater tous les bienfaits « parallèles » d’une telle semaine. Les nouvelles classes apprennent le fameux « vivre ensemble » qui, dans un monde de confort très individuel, est tellement bénéfique. Partager sa chambre, éprouver ce que c’est que d’avoir le visage piqué par le froid et vivre avec un natel déchargé, cela fait partie d’un bon bagage de vie si important dans la formation d’un enseignant.

Photo : Les paticipants dans le réfectoire du « Bergfreunde » en compagnie de Nathalie Nanchen et de Lionel Saillen

Anciens MPC

La HEP-VS forme d’autres professionnels

St-Maurice (pac) février 2017 : La HEP-VS forme principalement des enseignants. Elle est également très active dans l’accueil de jeunes professionnels qui se destinent à toutes sortes de professions, comme les stagiaires MPC. Une bonne  partie de ces derniers se sont retrouvés récemment à la HEP-VS.

2017 02 15 mpc treffIMG 200Coordonnée par Vincent Strahm, responsable informatique sur le site de St-Maurice, cette rencontre a permis à ces anciens collaborateurs de la HEP-VS, les uns issus d’une formation d’apprentissage, les autres des stages MPC, de retrouver l’institution dans laquelle ils ont passé de 4 ans à 1 année et avec laquelle ils ont gardé d’excellentes relations. Pour le directeur Patrice Clivaz, une occasion de constater que ce précieux personnel continue brillamment à se former, avec par exemple les uns à l’université, les autres à la HES SO. En moyenne, ce sont trois apprentis et 3 MPC que la HEP-VS forme chaque année sur ses deux sites.

Photo : de g. à d. Maxime Rappaz, Amandine Felley, Lena Curchod, Charlotte Caroli, Kilian Bonny, Vincent Strahm, Patrice Clivaz, Constance Rappaz, Florian Roserens.

Les conseils rectoraux des collèges valaisans en visite à la HEPVS

St-Maurice (pac) mars 2017 : Chaque année, les conseils rectoraux des collèges valaisans se retrouvent pour une journée qui mélange réflexion et visite culturelle. Le recteur du collège de l’abbaye à St-Maurice, le chanoine Alexandre  Ineichen était l’hôte de l’édition 2017 et une partie de la visite s’est tenue à la HEPVS, ce qui a permis à Patrice Clivaz de présenter les avantages de la formation en emploi pour le secondaire 2 offerte à la HEPVS.


IMG 2074 300 168La visite s’est déroulée en trois étapes, avec à côté de la partie HEPVS, celle consacrée à la visite du nouveau Cycle d’orientation des Tuileries et celle de la visite de l’abbaye et de son trésor. Le récent anniversaire de 1500 ans de présence chrétienne en Agaune a débouché sur une splendide rénovation de tous les éléments qui composent le fabuleux patrimoine abbatial, des incunables aux châsses.

Des collèges pleinement partenaires de la formation
Dans sa présentation, Patrice Clivaz, directeur de la HEPVS rappela tout d’abord que grâce à la présence de la HEPVS en Valais, les collèges valaisans étaient totalement partenaires de la qualité de la formation des futurs enseignants puisqu’un tiers de la formation se déroule sous forme de stages sous l’autorité de professeurs travaillant au secondaire II. Il analysa ensuite les effectifs d’étudiants provenant des collèges valaisans et se destinant à l’enseignement primaire. Si les 3 collèges du Valais romand envoient fidèlement, année après année, des cohortes qui permettent à la HEPVS d’être dans le peloton intermédiaire au niveau suisse avec environ 50% des étudiants issus de la voie gymnasiale, la situation est différente dans le Haut-Valais. Ce que Patrice Clivaz avait nommé il y a quelques années le « blues du Haut-Valais » se confirme avec des taux élevés de gymnasiens dont la seule motivation est de quitter leur coin de terre au niveau tertiaire, indépendamment d’une analyse des avantages d’une formation suivie sur leur terre natale. Cet appel du large est à terme très dangereux pour le Haut-Valais car il affaiblit la volonté du canton de développer une compétence au niveau tertiaire.

Consécutive en Suisse romande, intégratif en Suisse alémanique
L’existence en Suisse alémanique d’un autre système de formation pour le secondaire, dit intégratif, freine également des gymnasiens du Haut à envisager une formation partiellement en français. Ce système intégratif les oblige, dès la fin du collège, à choisir directement de devenir enseignant en suivant en parallèle la formation académique et la formation pédagogique, alors que les jeunes gymnasiens du Valais romand peuvent dans les universités romandes acquérir tout d’abord un véritable titre de haute école dans des branches académiques, ce qui leur permet ensuite de choisir de devenir enseignant et de suivre à temps partiel la formation pédagogique et professionnelle à la HEPVS, tout en ayant déjà le fort avantage de pouvoir tenir partiellement classe et de disposer d’un salaire. La discussion porta ensuite sur la nouvelle orientation de la formation continue pour le secondaire 2, telle que décidée par la CDIP. Cette dernière a recadré la mission de la centrale suisse qui s’en occupait en lui restreignant le mandat pour donner plus de place légitime aux hautes écoles en la matière. Pour la HEPVS, en partenariat avec d’autres hautes écoles, il s’agit donc dès à présent de développer l’offre de cours pour le secondaire 2.

Photo : Les conseils rectoraux des collèges valaisans à la HEPVS